mes anar-poemes

Des journées comme ça, de la gentillesse alors que par le monde le sang ne fait que couler et la haine se répandre.... Franchement ça prête à rire. Mais moi ça me botte la gentillesse parce que ça semble tellement ramer contre-courant. Et puis aujourd'hui...

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Je veillerais sur toi…. Bien au chaud dans le cocon De ma tendresse Rien ne peut t’arriver. Le sang a parlé Mais il ne dit pas la vérité. Celle-ci entortille le venin de son évidence Autour du cou d’un serpent Vicieux. Les massacreurs sont parmi nous...

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A madame Almanito pour ses images à voir ci-dessous : Cet été, c'était ça. Les sols à vif, mangés de soleil... Aujourd'hui, à l'heure du déjeuner, quasiment au même endroit. Ouf,on n'y croyait plus! C'était ici et ici. Voyons de plus près..... Est-ce...

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Il s'agit de la suite du poème de l'année dernière consacré à l'arbre des disparus. ICI Mâme Almanito, suffit de demander. Et où son jaune pantalon Reste-t-il accroché ? Pablo Neruda – Le livre des questions La panoplie de l'automne Et où son nez rouge...

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Les canards ne sont pas l’apanage des enfants Des comptines et des poésies de maternelles Les canards ont aussi des plumes A tremper dans les encriers des adultes, des grands Du moins de ceux qui aiment à en parler. J’ai croisé deux plumes de fuligules...

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Dans le sourire d’une pierre Haut perché son éclat jaillit J’ai puisé la caresse de la mer Un lit de tendresse pour habit L’amour est une pierre Qui roule les gros yeux de l’océan En fait des nattes et des tresses Pour y enrôler le printemps Nulle limite...

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C’est un dôme qui avait décidé De ne jamais garder La froide et conventionnelle forme Qu’on lui avait attribuée. Toujours il avait souhaité Sortir du rang Que l’on dise de lui qu’il était unique Bien différent Et surtout bien aimable Accueillant doux...

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Haliaeetus leucogaster - Batuputih Atas (1) » par Ariefrahman — Travail personnel. Sous licence CC BY-SA 4.0 via Wikimedia Commons. Il a, Dessiné Sur son corps musclé Le plus beau des dessins Celui Qui se voit d’en dessous Quand il survole les têtes Petites...

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J’aimerais poser sur la pierre plate De la forêt amie Mon écritoire d’ardoise et de temps perdu Prendre délicatement la fougère Crosse en main La tremper dans l’encrier de la rivière Partager avec toi Le parchemin qui se déroule Ruban de soie de verte...

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Je ne suis que le vent Qui tourne et puis qui vire Je ne suis que le temps Qui cherche son aimant Je ne suis que la pluie Qui tombe qui pleure qui bruine Je ne suis que l’ennui Qui s’efface et qui prime Je ne suis que l’oiseau Qui sur sa proie dîne Je...

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