“Nous ne sommes ni morts ni vivants, nous sommes suspendusˮ: Gaza se débat dans un état de crise perpétuelle

Publié le 7 Février 2017

En 2014, l'Autorité palestinienne de l'eau a déclaré que 90 à 95% de l'eau de Gaza était «impropre» à la consommation. Ce nombre n'a fait qu' augmenter depuis. L'année suivante, Oxfam a estimé que la reconstruction après la guerre de 2014 «pourrait prendre plus de 100 ans», à la suite du siège israélien, qui limite les matériaux de construction. La même année, la Banque mondiale a déclaré: «Près de 80% de la population de Gaza reçoit une forme quelconque d'assistance sociale, et près de 40% d'entre eux restent en dessous du seuil de pauvreté».

L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a également constaté qu'au début de 2016, les Gazaouis ne tenaient pas le coup dans cet environnement dévastateur. "Cinquante-cinq pour cent souffrent de dépression clinique", selon un communiqué.

La population n'a pas d'autre choix que de poursuivre, en dépit de la sombre réalité de la vie après des décennies d'occupation, trois guerres dévastatrices et une scission gouvernementale, qui ont toutes des conséquences dangereuses dans la région la plus peuplée du monde.

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Rédigé par caroleone

Publié dans #Palestine libre

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