Spéculation sur les déchets : la face cachée du tourisme de masse

Publié le 29 Octobre 2015

Côté face, des plages de sable fin et de grands complexes hôteliers. Côté pile, un tourisme générant des milliers de tonnes de déchets mal gérés par les autorités publiques. L’Île de Djerba qui accuse déjà les effets des actes terroristes en Tunisie, souffre d’un mal de plus en plus visible : l’eau, l’air et les sols sont contaminés par les métaux lourds s’échappant de la profusion de décharges illégales. Deux entreprises, dont une filiale de Suez Environnement, se partagent le marché des déchets. Elles en tirent une manne juteuse en privilégiant l’enfouissement plutôt que la valorisation. Basta ! est allé à la rencontre de citoyens tunisiens qui se mobilisent pour redonner du pouvoir aux municipalités et favoriser le tri à la source.

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Rédigé par caroleone

Publié dans #pilleurs et pollueurs

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A
Un grand grand merci pour cet article Caro. A plus petite échelle mais tout aussi grave car nous sommes sur une île, même problème ici. Il est grand temps d'en parler et de dire que ces spéculations sont faites par de véritables mafias, même si leurs noms sont connus!!!
C
Oui, j'ai pensé en effet à la Corse en voyant cet article mais tu sais comme de mon côté, avec ce que je vois comme dégâts occasionnés par l'écotourisme aussi bien pour les peuples que pour l'environnement, je ne suis pas une adepte de ce principe. Surtout les voyages organisés évidemment.