mes anar-poemes

Poésie à deux mains. Question de Pablo réponse de Caro. Pourquoi les arbres cachent-ils L’éclat somptueux de leurs racines ? Pablo Neruda (Le livre des questions) Racines Chevelures de fibres élastiques Petites mains joyeuses lancées à l’infini Doigts...

Lire la suite

Un germe de vie, tout petit, tout gentil Germe végétal mais principal et ravi Que l’on tire comme un fil sans cordeau Pas besoin qu’il soit droit ni riche ni beau Que l’on attache au bout d’une fibre amie Jusqu’à ce que le fil soit complètement réduit...

Lire la suite

Quelques mots pour toucher. Bien ciblés bien trouvés. Susciter l’attention l’attirer pour de bon. Aurore en Espagne ne doit pas vivre l’horreur . Sa sentence est injuste A nous de trouver les forces justes. Les forces vives qui ravivent La flamme d’un...

Lire la suite

Ah ! La belle culture que voilà ! La belle corrida qui service me rendra Une fois n’est pas coutume je vais lâcher Le taureau dans l’arène et le libérer Tu aimes ça les picadors dans les chairs C’est beau et cruel cette culture millénaire Le sport à vos...

Lire la suite

Ça bouillonne de l’intérieur C’est rempli de colère de noirceur Affronts sur affronts dérèglements Ne peuvent durer plus longtemps Abus répétés sans jamais écouter Les petits signaux amicaux envoyés Un jour ça pète et alors ça fait mal C’est le temps...

Lire la suite

Doisneau Aujourd’hui c’est rouge Ça coule dans les rues c’est chaud et visqueux Collant aux âmes à jamais résistantes Au fil du temps indélébile Prenant aux tripes en sortant les principes C’est rouge comme le sang Des combattants tombés La fleur au fusil...

Lire la suite

L’amitié qu’est-ce que c’est ? Une main tendue sans condition Un sourire offert qui dit : A quoi bon ? Petite branche feuillue de l’espérance Qui prend racine dans la verte Corrèze Se nourrit de ses valeurs profondes, Murets de pierres de sang et de sueur...

Lire la suite

La Grèce fond…… Elle se liquéfie comme glace au soleil Elle se glace d’effroi devant la faim des hyènes. Sa terre happée de l’intérieur Creuse des sillons de mort et de haine, attirée par le néant, des bras géants l’emmènent dans les profondeurs de l’épicentre...

Lire la suite

J’aime cette couleur qui m’habille en fleur Elle est le symbole de la tendresse au cœur La timidité révélée dans sa rougeur diffuse Une sensibilité certaine qui jamais n’amuse La poésie compose ses vers pour la vêtir De jolis atouts aux pétales soyeux...

Lire la suite

Taïnos à Cuba Un jour ils décidèrent d’aller faire des conquêtes A l’exemple du Colomb de malheur qui ouvrit la marche funèbre Chacun y trouva son compte sur ses terres de richesse. Pourtant ils furent accueillis bouquets de fleurs aux cous Amitié et...

Lire la suite