mes anar-poemes

Nuages ou Clouds Est un morceau composé par Django Reinhardt en 1940 pour le quintette du hot club de France. Tous les musiciens de jazz manouche l'ont reprise. Comme elle n'a pas de paroles, j'ai écris ce petit poème pour l'illustrer : Nuages, Dessinant...

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Couleur Isy Son pinceau trempé dans l’encrier du soleil Elle éclabousse la toile, l’or s’émerveille Une touche d’océan lumineux et joyeux Eclaire le vase en faïence de ses plus beaux bleus La fleurette illumine de son écarlate rougeur Le vermillon rivalise...

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image Le grand chariot du ciel tiré par la mère ourse, flotte délicieusement…… A son bord les petits gitans qui fuient sur la traîne d’une étoile filante jolie. Des galets plats à la rondeur de demain pour faire des ricochets sur l’étang du destin, un...

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Image Richard Bartz Je demande la paix du saule Pour le rocher chahuté par l’océan Que les coquillages qui sur lui prospèrent Prolifèrent avantageusement Je demande le vent coiffé d’un léger chapeau Pour le couple de macareux joyeux Dans son nid les œufs...

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.......Il n’est de résistant que celui qui se dresse Repousse la barbarie dans une colère de larmes....... Les poètes en soutien à Georges Ibrahim Abdallah font tomber les barreaux de l'injustice et tendent une corbeille de cerises et de figues afin que...

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.....Ainsi le poète trouva t-il sa place. La terre était bien cruelle, il y manquait la magie, le monde des hommes avec son capital bien trop triste et sauvage à merci. Le poète en la geôle puisait ses mots dans le froid des barreaux l’injustice sa complice...

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Le rossignol, l'abeille et un chant de fleurs nouvelles image Donnez-nous les clés de fa, les clés de sol Rêves d’un chant du monde, ce chant qui n’est pas seul Mi-chemin il accepte en son chœur les voix isolées Fatigue ne connais point quand le la est...

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Un jour, elle avait cru avec ses sœurs que le cordon ombilical et lumineux patiemment tressé tout autour de la terre, serrait si fort sa ceinture que plus aucun être ne vivrait dans la pénombre, le froid et l’humidité. C’est qu’il en avait fallu des années...

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Exil Quand les racines se diluent Que le temps sur les tempes afflue Il est bien là le plus terrible péril Exil Le pays d’un coup semble si beau On ne savait pas qu’il était si tôt Et que les souvenirs se comptaient par mille Exil Isolé. Le cœur asséché...

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Sur l’espace infini du temps Une clé de sol ronde et fleurie Dans la nacre douce et lisse Un cocon tendre s’est creusé Le lit du sable file Serpent sans bruit dans l’infini Le lit de nacre attend sagement Sa perle de coton blanc Pour y coucher le repos...

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