Partout dans le monde

Publié le 5 Juin 2013

Partout dans le monde, on arrache les veines de la terre, on dépossède les peuples, on pille les ressources de leurs sols généreux, on les jette au caniveau comme des chiens perdus sans colliers.

Et c'est la guerre pour le gaz et le pétrole, l'uranium et le cuivre.....

Et c'est la mort qui rôde dans la forêt quand les plantes sont pillées, brevetées et salies.

Et c'est la mort qui guette celui qui ose dire non et se couche devant les bulldozers qui détruisent et massacrent.

Et c'est la mort qui d'une balle tue le guerrier d'Amazonie qui lutte pour la survie de sa terre.

Et c'est la mort.......

Elle signe tout de son sceau.......

Devons-nous accepter que le confort des gens du nord dépossède ceux du sud ?

Ne devons-nous pas nous mobiliser pour soutenir les luttes de tous les peuples de la planète ?

Mettre de l'eau dans notre vin, de l'eau dans notre réservoir, consommer moins et juste et penser à ceux que l'on pille d'une vie naturelle ?

La toile nous permet de voir chaque jour les souffrances des peuples premiers,y prenons-nous garde ?

Nos yeux sont-ils attirés quand un être perd la vie ?

Notre âme vibre t-elle devant la souffrance, l'exil, les larmes, le sang ?

Tant qu'un être humain sera dépossédé, que l'injustice règnera sur notre sol, tant que des enfants ne pourront pas vivre leur vie d'enfant autrement que dans la guerre et les bombes, les cris et le sang, nous serons des combattants avec pour devoir l'égalité pour tous.

La lutte des uns est notre lutte.

Sur ce blog, sans me décourager je relaie ce qui me choque de par le monde, je vois partout le même problème, je relie les luttes, je tire un trait, sans pour autant maîtriser la politique, je sais que ce trait unit tous les combats : les ressources naturelles.

Le combat de notre siècle c'est celui de l'indigène, de l'autochtone qui se bat pour son passé et pour son avenir, car son passé, c'est le nôtre et son avenir, c'est le nôtre également.

Merci de me suivre fidèlement, merci de votre intérêt, merci pour eux.

Caroleone