Solidar'blues
Publié le 4 Septembre 2012
Petit blues du matin chagrin-mesquin qui t’étreins
Trois cuillères à soupe de baume au cœur il faut prendre à jeun
Petit blues du soir désespoir- entonnoir qui t’astreins
Une lichette d’espérance multicolore sur une tartine de pain
Je comprends le blues je suis solidar’blues à l’infini
Quand il vous accompagne tel un larron mal dégrossi
Pensez aux amis’blues sincères qui attendent un signe
Tendez les bras pour cueillir l’amitié comme le fruit de la vigne
Poème dédié à tous les amigos qui voient la vie en bleu
Qui voient la vie en noir ou bien la vie en gris
Toutes ses vilaines couleurs tristes et ternes à l'envie
Poème dédié aux amis tout court en attendant qu’ils aillent mieux
Carole Radureau (04/09/2012)