Hu! Ha! Chavez no se va !

Aujourd’hui c’est rouge.

Rouge dans les rues par milliers,

pleurant communiant dans une foule

à la peine sincère aux sentiments affligés.

Aujourd’hui c’est rouge.

Comme la colère à nulle autre pareille

qui nous prend à la gorge,

entendant les propagandes viles

qui se répandent sans honte masquée.

Tu es parti

Tu nous as quittés

Seuls nous sommes à présent

sans notre lumière étoilée.

Tel un Che Guevara ton chemin

si court et si riche

de multiples traces tels de petits cailloux,

semés dans la forêt sans pitié,

tu as laissés pour nous guider.

Nous ne sommes pas seuls

Non, étoile tu veilleras

sur la destinée de Notre Amérique,

noble comandante tu as fait ton travail,

à présent à notre tour

de nous atteler à la tâche.

Ils te salissent en vain.

Ils se vomissent dessus en t’éclaboussant

que s’en est réjouissant

Ton statut de héros éternel

déjà est en train de former

sur nos têtes rebelles

une aura de révolution.

Déjà dans ce ciel étoilé

tu révolutionnes la galaxie,

tu vas leur mettre un de ces bazars

comme aucun autre dans l’infini.

Et dans nos cœurs cette étoile vigoureuse

brillera aussi comme aucune autre.

Elle est celle de ta nature généreuse

reprise si tôt de manière pernicieuse.

Aujourd’hui c’est rouge.

Rouge comme le Venezuela qui bouge

qui s’émancipe qui participe

à ce monde meilleur,

qui ne laissera pas couler à flot

le rouge du sang dans les rues.

Plus jamais de sang dans les rues,

le socialisme doit perdurer

pour encore mille ans (voire plus).

Adios comandante Chavez

A jamais nous te disons : Merci

Carole Radureau (09/03/2013)

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Images Nicolas Maury via le blog de Lucien Pons ( voir la suite ICI )