Siembra tu luz
Publié le 27 Août 2020

Siembra tu luz
Más que un símbolo, tu nombre
Es un río que hace mares
Es un volcan que no duerme
Es un silencio que me arde
Es tiempo de arar la vida
Con el filo de la espada
La que ahuyenta el sufrimiento
Sólo a golpes de esperanzas
Cómo curar las heridas
Si hay dolor en las miradas
Porque no le quedan sueños
A esa lluvia enamorada
La que llora por los hijos
Ese pan que nunca alcanza
Porque no se hincho en el horno
De un ingenioso mañana
Ay! Ay! Ay! Ay!
Animate y sal a caminar!
Busca el camino
El que te ha de llevar
Ponle mil balas
A la palabra!
Vamos a andar, la libertad;
Y ábrele un cielo
A tus anhelos
Siembra tu luz, Che Guevara!
El se llevo con su muerte
La llave de esos candados
Y ahora gritan desde adentro
Los que siguen encerrados
Aquellos que con el miedo
Se tejieron un pasado
Para llorar silenciosos
Un sueño decapitado.
Avestruces milenarios
Herencia que no comparto
Son aquellos que se esconden
Al primer dolor de un clavo
Limpia toda tu verguenza
La que te escondió la mano
Esa que tiró la piedra
Para vender a tu hermano.
......
Sème ta lumière
Plus qu'un symbole, ton nom
C'est un fleuve qui fait des mers
C'est un volcan qui ne dort pas
C'est un silence qui me brûle
Il est temps de labourer la vie
Avec le fil de l'épée
Celui qui fait fuir la souffrance
Seulement à coups d'espérances
Comment soigner les blessures
S'il y a une douleur dans les regards
Parce qu'il n'y a plus de rêves
A cette pluie d'amour
Celui qui pleure pour les enfants
Ce pain qui n'est jamais assez
Parce qu'il n'a pas levé dans le four
D'une matinée intelligente
Ay, ay, ay , ay !
Courage et marche !
Trouve le chemin
Celui qui t'emmènera
Mets mille balles
A la parole !
Marchons, la liberté ;
Et ouvre un paradis
A tes désirs
Sème ta lumière, Che Guevara !
Il a emporté avec lui sa mort
La clé de ces serrures
Et maintenant, ils crient de l'intérieur
Ceux qui sont encore enfermés
Ceux qui, avec la peur
ont tissé un passé
Par des pleurs silencieux
Un rêve décapité.
Les autruches millénaires
Héritage que je ne partage pas
Ce sont ceux qui se cachent
A la première douleur d'un ongle
Nettoie toute ta honte
Celle qui a caché ta main
Celui qui a jeté la pierre
Pour vendre ton frère.
Miguel Angel Filippini traduction carolita