L’intervention militaire sur la Zad de Notre-Dame-des-Landes a commencé

Publié le 9 Avril 2018

  • Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), reportage
  • 11h00 - Lors de la conférence de presse, le représentant de l’Acipa a aussi déclaré : « On a travaillé des années avec nos camarades de la Zad. Il est inenvisageable d’abandonner aujourd’hui la Zad à son sort. Nous appelons tous nos adhérents à venir défendre notre lutte commune, qui continue sur la Zad. »
  • 10h42 - Conférence de presse des habitants à La Rolandière. Elle est tenue conjointement par des habitants et des représentants de l’Acipa, de Copain 44 (les paysans), les Naturalistes en lutte et la Coordination. Tous se disent « très en colère », soulignant la contradiction incompréhensible entre la « volonté d’éradication de la Zad » par 2.500 gendarmes et les déclarations de la préfète parlant d’apaisement et de laisser du temps au processus. La Coordination met aussi en cause la « concertation », à laquelle ils ont participé activement, menant un « gros travail qui semblait constructif et qui amène une grosse déception ». Les habitants observent aussi qu’on parlait « d’expulsions ciblées » alors qu’en fait 40 lieux de vie sont visés. Ils indiquent qu’ils n’ont pas d’informations sur les lieux qui auraient pu être détruits. Mais la maison Jessy James, sur la D281, a subi une expulsion. Il y a par ailleurs eu un blessé.

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