Les droits humains en Corse dont la question des prisonniers politiques

Publié le 6 Février 2018

Contexte

Actuellement la Corse est administrée par la République Française. Nous avons donc prévenu, le Président et le Premier ministre français d’une situation préoccupante en Corse. Par courrier du 11 Octobre 2017, il nous a été indiqué que Monsieur Édouard PHILIPPE, Premier ministre, avait pris connaissance de notre démarche.

En France, les peuples, les langues et les cultures régionales sont souvent méprisés et même rabaissés à une simple expression folklorique voire à l’inexistant réellement, tant dans le discours médiatique que politique en France.

Ce phénomène est criant en France pour ceux qui s’intéresse aux droits des peuples minoritaires et aux droits humains. L’idéologie jacobine a essayé d’imposer depuis longtemps le mythe d’un peuple français homogène et une langue unique, « le français », sur le territoire que la République veut gérer.
La France n’a pas signé la charte des langues minoritaires en Europe et ne reconnait aucune autre langue en usage sur son sol, même si certaines sont plus anciennes que le français.

En Corse, après plusieurs années de lutte armée, les mouvements indépendantistes et autonomistes ont déposés les armes et investis la société civile depuis deux ans seulement. Ils ont par ailleurs gagné de nombreuses places politiques et instances locales (Mairies, Assemblées territoriales, tribunaux etc.).

Des nombreux militants souvent des jeunes, ou jeunes au moment des faits, sont incarcérés et/ou encore recherchés.

Nous souhaitons par la présente attirer votre attention sur la situation des droits humains en Corse car leurs irrespects est source de dérapage possible vers des conflits.

la suite : 

Rédigé par caroleone

Publié dans #Corse, #prisonniers politiques

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