Citoyens vs/11 vaccins : La désobéissance civile est la règle

Publié le 16 Décembre 2017

Bienvenue dans la société moderne, dans le monde capitaliste au XXIe siècle.

En tant que militante, je réalise chaque jour que notre rôle à présent ne se réduit plus à la prise de risque sur le terrain, dans le maquis, dans un éventuel affrontement mais il est devenu omniprésent dans notre cellule familiale, dans notre façon de vivre, dans notre façon de consommer et dans notre façon d’être où Résister c’est Exister.

Exister c’est Résister à tout ce que l’on nous vend comme propagande, comme désinformation, comme produits toxiques, comme obligation, comme atteinte à nos libertés, comme mode de vie poussant à faire de nous des êtres sans pensée.

Nous sommes une société de cobayes qui paie pour cela.

Nous sommes une société qui se croit civilisée et qui se soumet sans sourciller, sans même se poser de questions sur l’éventuelle mainmise qu’elle pourrait avoir sur sa vie future.

Chaque jour apporte son lot d’inquiétudes, chaque jour apporte son lot de furie et de honte, et parfois, on pense que l’on ne veut plus, que l’on ne peut plus se battre.

Et là, on donne la victoire à l’ennemi en face de nous : le capitalisme.

Car c’est lui qui est le maître-mot de tout ce que nous vivons.

C’est lui qui permet par nos votes de placer sur le trône les larbins de son pouvoir.

Que ce soit en France ou dans le monde, chaque jour sur cette terre me donne raison.

Quand il en va de la vie, quand il en va de la santé, d’autant plus quand il en va de la santé des êtres les plus purs et les plus « neufs » de notre société, les bébés, nous devons être en mesure de dire stop et de mettre en place la désobéissance civile. Pour eux, pour nos enfants, pour nos petits-enfants, pour tous ceux à venir.

Je ne vous ferais pas de cours de science ni de médecine, je n’en ai aucune capacité comme vous le savez, je vous parlerais juste de ce que je connais, avec mon cœur de mère, avec mon cœur de femme, avec mon cœur de mamita qui tremble déjà comme jamais il n’a tremblé pour un chiquitoa pas encore né(e).

Pour lui/elle, pour les autres qui suivront, pour mes enfants, pour vos enfants, réflexionons, parlons, sortons des sentiers battus, apportons de l’eau à l’édifice, réfléchissons ensemble sur les possibles et les impossibles, élaborons un mode de société  débarrassée de l’obligation, de la crainte et de l’épée de Damoclès au-dessus de nos petites têtes blondes ou brunes, élaborons une société libre et sans peur, unie et soudée, solide et stable pour ébranler les décideurs, les passeurs en force sur nos vies et vos avenirs.

Aujourd’hui je vais vous parler de mon vécu, ce ne sera pas long et vous serez surpris sur la maman que je fus.

Quand j’ai eu mon premier fiston il y a presque 32 ans, nous n’étions pas à l’heure d’internet, je ne militais pas du tout, j’avais 21 ans et demi et je naissais tout simplement avec ce premier enfant, laissant derrière moi des années troubles et un passé à enterrer.

Il n’y avait pas à cette époque de doute sur la vaccination, on devait faire à l’âge d’un mois le BCG et cela m’a fait mal puis ensuite le vaccin tetracoq qui s’administrait chaque mois jusqu’à 6 mois il me semble et avec un ou 2 rappels par la suite. C’est vrai que je me soumettais de mauvais cœur à cette opération mais à cette époque je faisais confiance à mon médecin qui plus tard fut un pédiatre qui a suivi mes enfants jusqu’à 10 ans environ.

C’est vrai, je ne vous cacherais pas que cela n’était pas un acte que je faisais de gaieté de cœur, parce que tout simplement, cela faisait mal à mes bébés et que comme toute maman la douleur de l’enfant est notre douleur.

Mais comparé à aujourd’hui, ce que l’on propose aux jeunes parents, c’est la douleur du vaccin, la grande douleur de l’inquiétude face à ses effets possibles,  la grande douleur de l’obligation et de ses conditions et cette douleur multipliée ONZE fois (si tout va bien) !!

C’est révoltant, répugnant, honteux et je considère cet abus comme une sorte de guerre contre les citoyens.

Pourquoi étais-je si « soumise » face à la vaccination me direz-vous ?

Tout simplement parce qu’à cette époque, je pensais qu’elle représentait un progrès.

Parce que la vaccination, ce doit être un progrès, pas une régression, pas un abus de pouvoir, pas un lobby que l’on satisfait.

Je me souviens de mon enfance et d’un ou deux enfants de mes connaissances qui étaient dans des fauteuils roulants à cause de la polyomyélite. Ce n’est pas si loin que ça……

De plus, je ne peux que constater chaque jour auprès des peuples originaires d’Amérique latine, auprès des peuples non contactés, comme cette vaccination de base peut leur donner une chance de survivre, de vivre mieux.

La base de mon engagement (enfin engagement sur le papier) pour le Chiapas est le chiffre de 40% de mortalité infantile dans ce pays, mort souvent causée par des diarrhées à cause du manque de sanitaires, d’eau potable, mort causée par des maladies bénignes dans nos pays occidentaux. Cela me semblait intolérable et même encore et a motivé mon intérêt pour les peuples Mayas et les autres peuples originaires.

Quand le vaccin contre l’hépatite B est sorti, c’est là que l’histoire de la vaccination, a selon moi, basculée, a été écorchée, soutenue quelque temps après par celle du vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Puis encore plus tard avec le scandale du vaccin contre la « grippette du cochon » qui était déjà un gros coup de propagande médiatique et de forcing, inutile de plus.

Pour le vaccin contre l’hépatite B, mon pédiatre a commencé à faire les 2 premières injections à mes 2 aînés, puis entre temps, très rapidement on a eu connaissance des problèmes de santé, et on a entendu parler de cas de scléroses en plaque. Là le pédiatre a dit STOP !

Ce qui m’a inquiétée, bien plus que si c’était moi qui avait dû prendre la décision…..

J’ai commencé à me poser les questions que doivent se poser les parents, futurs parents en ce moment pour les 11 vaccins.

Quand on nous a parlé pour ma fille du vaccin contre le cancer du col le col de l’utérus, j’ai dit non, pas assez de recul.

Quand on nous a fait pression pour le vaccin contre la grippette du cochon, je militais y compris via mon blog et je me suis investie dans une campagne anti-vaccination.

A présent, je pense que toutes ces horreurs que l’on a refusées sont combinées dans le cocktail des 11 vaccins ?

Si c’est le cas, pincez-moi (mais pas trop) !

Les chats

Il y a un autre variable qui m’a fait, par rebond voir la vaccination autrement, c’est mon expérience de l’élevage de chats, expérience douloureuses au possible.

Les animaux ne sont pas vraiment traités de la même manière que les êtres humains, malgré les grandes sommes d’argent que nous leur consacrons, et les vaccins pour les animaux sont dotés d’adjuvants il me semble dosés à la louche.

La vaccination combinée par exemple pour les chats leucose/typhus/coryza est une aberration car dans ce vaccin,  seul le coryza mériterait un rappel annuel, les deux autres sont en surdosage et les adjuvants inclus. Pour autant, même en tant qu’éleveuse je n’ai jamais réussi à faire pression sur mon cabinet véto pour avoir le vaccin seul contre le coryza, on m’a dit : « Vous n’allez pas vous plaindre vous en avez 3 pour le même prix ! »

La vaccination provoque parfois chez les chats âgés des tumeurs au point de vaccination (fibrosarcome), c’est dû à l’aluminium des adjuvants.

Quand j’ai commencé à faire stériliser mes chats et quand j’ai arrêté l’élevage, j’ai cessé de les vacciner, car je n’avais plus l’obligation de le faire compte tenu du risque sanitaire de l’élevage.

Je n’ai perdu aucun de mes chats depuis suite à un défaut de vaccination. Au contraire dans le cas de trois chats souffrant de maladies graves, je pense que cela les a prolongés car ils n’ont pas été soumis à ce stress occasionné à leur organisme par la vaccination.

De fil en aiguille,  je reportais cette expérience du chat à l’homme et de fil en aiguille on en est aujourd’hui à se poser les questions que je me posais sur mes chats, pour des bébés.

C’est à ce moment-là que l’on se dit : Où il est le progrès ?

Je n’écris pas ceci pour raconter ma vie ou donner des consignes encore moins des leçons.

Je ne sais pas ce qui est le mieux, je ne sais pas ce qu’il fait faire ou ne pas faire, j’ai tout simplement la conviction que le lobby pharmaceutique s’est invité avec ses gros souliers dans les petites vies qui devraient être douillettes et moelleuses de nos petits, et j’ai la conviction, ferme, à ce sujet que les hommes politiques sont les larbins des lobbies. Aussi je n’ai pas grand espoir dans le fait de demander à ceux qui ont été élus de peser le pour et le contre : vie et bien-être des enfants vs lobby pharmaceutique car les enjeux financiers sont inégaux, les vies, la santé ne s’achètent pas tout simplement. Ils sauront très bien trancher dans le sens des intérêts des uns qui ne sont pas les nôtres.

Chaque parent à sa conscience et son espoir.

Chaque parent doit se soucier d’un pas en avant qui est la désobéissance civile pour inverser les choses.

Je me dis que leur connerie, leur abus va pousser encore plus de personnes à refuser toute vaccination, je me dis aussi que plus les parents seront nombreux à refuser ces 11 vaccins, plus les enfants seront nombreux à être refusés dans les écoles puisque c’est une obligation, et plus ces politiques seront contraints de revoir dans quelques années leur feuille de route.

Entre temps, combien de morts, combien de souffrances, combien de familles brisées par les « dégâts collatéraux » des 11 vaccins ?

Une chose est sûre pour moi : Je ne souhaite pas que mes chiquitoas soient des « dégâts collatéraux » !!

Et pour ce qui est du progrès, plus de vaccin, plus d’école : Elle est pas belle la vie future de nos petits ?

J’ai presque envie de dire : Merci Macron !!

La mamita carolita

Rédigé par caroleone

Publié dans #Réflexions, #Enfance, #Santé, #Désobéissance civile, #11 vaccins

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