Le mur et les vieilles blessures non cicatrisées

Dans des réflexions parues le 10 août 2009 sous le titre Les bases yankees et la souveraineté latino-américaine, le leader de la Révolution cubaine Fidel Castro signalait : « En 1848, ils arrachèrent au Mexique plus de la moitié de son territoire à la suite d’une guerre de conquête contre un pays plus faible sur le plan militaire, occupant sa capitale et lui imposant des conditions de paix humiliantes. Le territoire ainsi retranché recelait d’importantes réserves de pétrole et de gaz qui allaient plus tard alimenter la richesse des États-Unis pendant plus d’un siècle et continuent en partie de le faire. »

Et pour ne rien laisser au hasard, en 1882 le gouvernement des États-Unis imposa au Mexique un traité autorisant ses forces armées à entrer librement sur son territoire.

C’est une partie de l’Histoire que ni l’Amérique latine ni le monde ne doivent oublier, et encore moins lorsqu’en plein 21e siècle, où certains fait récents semblent confirmer une exacerbation des appétits impériaux.

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Le mur et les vieilles blessures non cicatrisées

À l'endroit même où se dresse une haute clôture de barbelés électrifiée, longue de plus d'un millier de kilomètres sur la frontière totale de 3 200 kilomètres entre le Mexique et les Éta...

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Toujours plus de murs : La barrière Etats-Unis/Mexique - coco Magnanville

A Nogales Par Realbrvhrt - http://en.wikipedia.org/wiki/User:Realbrvhrt, Copyrighted free use, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=1688359 ***** On l'appelle également grande muraille ...

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