Non à l'expulsion du Secours Populaire

Publié le 2 Octobre 2016

Merci de faire tourner la pétition dans vos réseaux.

Ya Basta ! le FN !!

Un maire FN veut expulser le Secours Populaire de sa commune à Hayange. C'est un scandale !

Il reproche à cette association caritative de venir en aide aux réfugiés, alors que c'est le coeur de leur mission que d'aider les plus démunis - y compris les réfugiés qui ont dû quitter leur pays en proie à la guerre et à la misère. Le Secours Populaire joue un rôle fondamentale pour la solidarité en soutenant toutes les familles victimes de la pauvreté et de l'exclusion. Il faut l'y aider et non l'arrêter !

Aujourd'hui, l'expulsion a été ordonnée, mais les responsables associatifs ont refusé de rendre les clés de leur local. Apportons-leur notre soutien pour qu'ils continuent à secourir les plus démunis à Hayange. C'est maintenant qu'ils en ont besoin!


La pauvreté et les inégalités en France ont explosé. À Hayange, le Secours Populaire vient en aide à près de 800 personnes démunies; des familles monoparentales, des enfants, des personnes âgées, victimes de la pauvreté et de l'exclusion...
Pourtant, le maire FN, M Fabien Engelmann, leur a supprimé toute subvention. Et maintenant il veut les chasser du local qu'ils occupent depuis près de vingt ans !
Il planifierait d'y loger "Fraternité française", une organisation caritative dirigée par l'eurodéputée FN Mireille d'Ornano, qui se donne pour but d'aider les Français seulement.

Nous devons nous mobiliser sur ces graves dérives haineuses en cours! Le racisme n'est pas qu'une idée; il se mue inéluctablement en des actes terribles de conséquences.
Signez cette pétition et partagez-la pour montrer à tous le vrai visage du FN et pour soutenir le Secours Populaire à Hayange, en Moselle.

Rédigé par caroleone

Publié dans #Chroniques du fascisme ordinaire, #Pétition

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A
Il leur reproche aussi de diffuser des idées coco(?!!!!), tout comme près de chez toi je crois un maire du même parti avait expulsé l'assoce des Droits de l'homme. Ca devrait alerter les gens avant de voter, avec eux, ça commence toujours comme ça, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont exclus et les premiers à payer les pots cassés seront encore les plus démunis. C'est ainsi que les dictatures commencent, insidieusement, pas à pas. Comment de telles mesures ne soulèvent-elles pas un tollé d'indignation?
A
Je ne savais pas pour le mec de la CGT, mais à plus forte raison, ça montre bien qu'en dehors du fn rien ne doit exister à leurs yeux. L'intérêt pour les causes communes a disparu depuis longtemps, chacun défend son bout de gras et tant pis pour le voisin. Engouement pour le fn tant au nord que dans le midi, une région défavorisée, l'autre plutôt très gâtée...c'est incompréhensible!
C
C'est évidemment et surtout lié aux idées progressistes car c'est bien connu que le secours populaire est lié au parti communiste.<br /> Ce mec était à la CGT avant et il en a été viré d'après ce que disait Roger dans son article<br /> <br /> http://www.le-blog-de-roger-colombier.com/2016/09/le-maire-fn-d-hayange-en-moselle-chasse-le-secours-populaire-de-ses-locaux.html<br /> <br /> C'est sûr que les bénéficiaires du secours populaire sont ceux qui vont en pâtir et le nôtre ici à MLV est certainement menacé dans le temps si les fachos restent aux commandes. Je suis allée une fois à Hayange car c'est la région de mon beau-frère, cette région est pauvre et les hauts fourneaux qui ont fermé ont provoqué une grande misère. Aussi, bizarrement d'un côté il y a besoin de structures comme le secours populaire et de l'autre côté, ces régions font le lit des fachos. Tu as raisond e signaler le glissement. Il est là depuis plusieurs années déjà et je crains que nous ne soyons encore qu'au milieu de la grande descente dans le lit de merde du fascisme. Que cela n'empêche pas les gens de se mobiliser car en ce moment, est-ce du à la stratégie du choc provoquée par les attentats terroristes, je trouve que les gens ont perdu leur gnaque, leur intérêt pour les causes communes. Mais je vois peut-être la mal là où il n'est pas.