Les dangers du tourisme chez les peuples indigènes

Publié le 19 Janvier 2016

Je suis d'accord avec ce texte et personnellement, n'encourage pas du tout les touristes à se rendre chez les peuples qui peuplent mon blog en dehors évidemment d'un partenariat avec eux ou pour les aider en quoi que ce soit dans un projet.

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Comme tous les humains, nous nous déplaçons. Nous voyageons, nous l’avons toujours fait. Voyager est un acte solidement ancré dans la mentalité humaine. N’avons-nous pas quitté les savanes africaines il y a des milliers d’années pour découvrir le reste du monde?

Aujourd’hui, l’industrie du voyage est l’un des grands secteurs de l’économie mondiale. Nous quittons notre foyer pour nous lancer à l’assaut des montagnes, randonner dans les forêts tropicales et les déserts, danser à Cuba, traverser le détroit des Dardanelles à la nage, flâner dans les souks ou paresser sur une plage. Dans son livre L’art du voyage, l’écrivain suisse Alain de Botton réfléchit sur les raisons profondes qui nous poussent à voyager. Il estime que la première d’entre elles est la recherche de perspectives nouvelles, car il pense que nous ne pouvons véritablement nous construire sans changer de lieu d’existence. Le changement était une motivation fondamentale de l’écrivain-voyageur Bruce Chatwin. ‘Changer d’habitudes, de nourriture, d’amours et de paysages’, écrit-il. ‘Nous en avons autant besoin que de l’air que nous respirons’.

la suite :

Rédigé par caroleone

Publié dans #indigènes et indiens

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A
Complètement d'accord aussi. L'homme "civilisé" détruit tout sur son passage, surtout depuis qu'il se déplace en masse, et ne peut que nuire à ces peuples qui n'ont pas besoin de nous.
C
Parfois il y a des personnes qui veulent séjourner auprès des communautés pour se rendre utiles et porter leur parole, c'est comme le dit survival, c'est aux peuples de décider. Mais le tourisme de masse, c'est incompatible forcément. Ils n'ont pas besoin de cela. Moi, ça me suffit d'étudier les pays et les peuples comme ça dans les livres ou sur internet et je n'ai aucune frustration ni même envie de me rendre sur place, mon imagination me suffit. Et je suis contente de découvrir en France ce qui est à ma portée avec ses coutumes et sa culture propre.