Ma Louise, la Commune n'est pas morte, je m'en souviens ce jour
Publié le 18 Mars 2014
Ma Louise la chanson de la Commune sur nos lèvres
Sifflote encore l’air du Temps des cerises
L’espoir renaît dès que les pavés font trébucher l’histoire
D’un état qui périt et souffre de la brise
D’un état qui pourrit au son des compromis
Et manque la liberté au bout de nos canons
Les airs des chansons au goût du sacrifice
Et les motivations qui sans les valeurs se perdent.
Ma Louise, tu l’as construite la Commune
Avec tes camarades qui signèrent de leur sang
Quand le joug sur le cou du peuple resserre
Son étreinte tel l’étau de fer
La Commune alors revit
Elle vibre d’émotion
Mais qui s’en souvient de ce temps éphémère
Où les espoirs au bout des fusils
Fleurissaient comme les appétits
D’un pain chaud et solidaire
Au goût anisé d’un monde bien meilleur.
Carole Radureau (18/03/2014)
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18 mars 1871: Vive la Commune de Paris!
18 mars 1871: Vive la Commune de Paris! - Le blog de Roger Colombier
L'histoire sociale du Mantois, cette région à l'Ouest de l'Île-de-France. Et aussi mes coups de gueule, mes observations ou mes bravos sur l'actualité du présent.
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