fragments de neruda

portrait d'Oswaldo Guyasamin La geste Si taisait ses douleurs la mer profonde, La terre soulevait ses espérances : Elles débarquèrent sur la côte : C’étaient des bras et des poings en lutte : Fidel Castro avec quinze des siens Et avec la liberté, descendit...

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Ceux qui lisent aujourd'hui le poète chilien Pablo Neruda, l'admirent et le citent comme l'un des auteurs les plus instruits de langue espagnole, ils n'ont peut-être pas conscience de ce qu'a représenté sa visite à La Havane en mars 1942, il y a maintenant...

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Si tous les fleuves sont eaux douces, où la mer prend-elle son sel ? Pablo Neruda (Le livre des questions) La seine à la Roche-Guyon De ma fenêtre, je vois La grosse main de fer Qui du lit de la Seine Tire des poignées pleines De sable et de cailloux...

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Moi je ne pleure pas pour pleurer mais pour trouver le calme, Pleurer pour moi c'est comme une prière que personne ne veut écouter Sonnet XVII Je ne t'aime pas comme rose de sel, ni topaze Ni comme flèche d’oeillets propageant le feu: Je t’aime comme...

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FIDEL CASTRO ET PABLO NERUDA DANS L'AULA MAGNA DE LA UNIVERSITÉ CENTRALE DE VENEZUELA, 1959. Fidel, Fidel, les peuples te remercient Les mots en action et les faits qui chantent, Pour cela je t’ai amené de loin Une coupe de vin de ma patrie : C’est le...

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Amada, en esta noche tú te has crucificado sobre los dos maderos curvados de mi beso; y tu pena me ha dicho que Jesús ha llorado, y que hay un viernes santo más dulce que ese beso. En esta noche clara que tanto me has mirado, la Muerte ha estado alegre...

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Serrée contre mes bras comme du liseron, les feuilles recueillaient ta voix lente et en paix. Foyer de stupeur dans lequel ma soif flambait. paroles en espagnol - Poème VI de Neruda - Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée

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Isla negra- Public Domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=5247923 Ode à la mer Ici dans l'île la mer et quelle mer ! est hors d'elle-même à chaque instant, elle dit oui, elle dit non, et non et non, et non, elle dit oui, en bleu, en écume,...

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Peinture d'Oswaldo Guyasamin Pablo je t’écris Depuis le monde des hommes Ici tu sais, rien n’a changé A feu et à sang Les lignées d’épines Les flux mortifères Epandent sur la terre Leurs ferments maudits. La terre-mère gémit Dans un soupir elle étire...

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