Nicolas de Jésus, graveur nahua

Publié le 5 Décembre 2012

 

Nicolas de Jésus

 

 

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Artiste peintre et graveur sur papier amate d’origine nahua.

 

Il est né en 1960 à Ameyaltepec dans la communauté de Altos Balsas dans la région nahua de l’état de Guerrero au Mexique.

 

 

la-esperanza.jpgLa Esperanza, l'espoir

 

 

 

 

 

Il utilise bien souvent le jour de la célébration des morts (dias de los muertos) comme sujet de son art. Les squelettes sont les représentations visuelles des âmes des défunts et en cela il suit directement l’influence du grand artiste et illustrateur José Guadalupe Posada.

 

« L’art ne doit pas être sous-estimé, il a le pouvoir de remuer les consciences, tout en étant le reflet du plus intime de l’artiste »

 

 

 

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El funeral del PRI - Les funérailles du PRI (parti révolutionnaire institutionnel)

 

 


"Moi, je pense que nous sommes une société et qu’en tant que telle nous devons être attentifs aux politiques qui sont appliquées et comprendre d’où elles viennent. Ce ne sont pas les gouvernants qui prennent réellement les décisions, mais les multinationales : en fait, c’est une religion que l’on nous inculque à travers les messages de consumérisme."

 

 

 

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Politicards, les politiciens

 

 

 

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Trampa global (Piège global)

 

 


 

Parmi ses prochaines activités, une exposition tripartite au Canada, au Mexique et aux États-Unis consistant en un dossier sur le pétrole, dont l’inauguration est prévue le 10 octobre sur le port de la ville : il se compose de vingt et une gravures, sept par pays, dans lesquelles les artistes, en fonction du vécu de chacun, reflètent les problèmes et les inquiétudes issus de la production d’hydrocarbures.

 

 

 

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Despierte Amérique

 

 

 

 

 

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Fiesta de los muertos, la fête des morts

 

 

 

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Buitres, vultures, vautours

 

 

 

"J’ai toujours compris l’art comme devant être porteur d’un message. J’ai pu voir de quelle façon les gens se battaient pour avoir un avenir meilleur. Cela m’a fait prendre conscience, de la même façon que lorsque mon père a été assassiné quand j’avais quinze ans. Dans un pareil cas, on se demande ce qu’il faut faire, on se demande pourquoi les coupables ne sont pas en prison ? L’art sert à nous guérir et à expulser tout ce malaise et cette révolte que l’on éprouve devant une telle situation."

 

 

 

En savoir plus sur la voie du jaguar  ICI

 

 

 

 

Pour en savoir plus sur les nahuas sur cocomagnanville  ICI

 

                              sur le papier amate   ICI  ( en milieu d'article)

 

 

 

 

 

 

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