Il faut inclure les populations autochtones pour conserver la diversité exceptionnelle des forêts d’Afrique centrale (commentaire)

Publié le 31 Mai 2022

by Anahita Verahrami on 20 mai 2022 | Translated by Julie Guillaume

  • La culture et les connaissances traditionnelles des Ba’Aka sont, sur de nombreux aspects, intimement liées à leur dépendance et à leur respect envers la forêt. Cette relation avec la forêt a permis à ce peuple de prospérer dans le bassin du Congo pendant des millénaires.
  • Le colonialisme et la création de zones protégées en Afrique centrale ont conduit à l’expulsion forcée des tribus Ba’Aka de leurs terres ancestrales dans la région, et cela sans compter les violations des droits de l’homme qui y ont été signalées.
  • Pour s’attaquer à ces injustices efficacement et équitablement, les défenseurs de l’environnement travaillant en Afrique centrale devraient adopter une approche de la conservation basée sur les droits de l’homme qui reconnaît et soutient la manière dont les Ba’Aka dirigent les efforts locaux de sauvegarde et qui intègre leurs droits de propriété forestière comme mesure du succès global de la conservation.

Cet article est un commentaire. Les opinions exposées sont celles de l’auteure et ne reflètent pas nécessairement celles de Mongabay ou de tout autre organisme auquel elle pourrait être affiliée.

peuple : Ba'aka

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