L’importance des méthodes traditionnelles de guérison en prison
Publié le 11 Avril 2018
John Clarence Kawapit est détenu à la pris d'Amos, en Abitibi. Photo : Radio-Canada/Émélie Rivard-Boudreau
Quatre détenus ont été entendus aujourd'hui à la Commission d'enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publiques du Québec (CERP), à Val-d'Or. Ils ont fait valoir l'importance des méthodes traditionnelles de guérison en milieu carcéral.
Avec les informations d’Émélie Rivard-Boudreau
Certains de ces détenus ont témoigné par eux-mêmes, d'autres, par la voix d'enquêteurs de la commission.
C'était d'ailleurs la première fois qu'un détenu de la prison d'Amos, en Abitibi-Témiscamingue, livrait un témoignage devant le commissaire Jacques Viens.
John Clarence Kawapit est le premier détenu à avoir été emmené de la prison d'Amos pour témoigner devant la Commission Viens.
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L'importance des méthodes traditionnelles de guérison en prison
Quatre détenus ont été entendus aujourd'hui à la Commission d'enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publiques du Québec (CERP), à Val-d'Or. Ils ont fait valoir...