Chansons reprises : El preso número nueve
Publié le 8 Avril 2018
Chanson écrite par le compositeur mexicain Roberto Cantoral, connu pour ses chansons mexicaines à succès ( el reloj, el triste, la barca, al final). Elle a été reprise plusieurs fois dont quelques exemples ci-dessous :
Le prisonnier numéro 9
Le prisonnier numéro neuf est sur le point d'être confessé
Il est enfermé dans la cellule avec le prêtre de la prison
Et avant l'aube, il faut lui enlever la vie
Parce qu'il a tué sa femme et un ami déloyal
C'est ce qu'il dit quand il avoue
Je les ai tués. Oui, monsieur
Et si je suis naît à nouveau
Je vais les tuer à nouveau
Père, je n'ai pas de regrets
Je n'ai même pas peur de l'éternité
Je sais qu'au paradis
Celui qui juge nous jugera
Je vais suivre leurs pas
Je vais les chercher là-bas.
Ay. yayayayayyyyy
Le prisonnier numéro neuf était un homme très raisonnable
Il est parti la nuit du village très content dans sa hutte
Mais en regardant son amour dans les bras de son rival
Une rancune a brûlé dans sa poitrine et il ne pouvait pas le supporter
Lorsque le clairon retentit, le peloton était formé
Ils l'ont mis au mur, on l'entendit dire :
Père, je n'ai ni regret ni crainte pour l'éternité
Je sais qu'au paradis, le juge nous jugera
Je vais suivre leurs pas et les chercher là-bas.
Ay. yayayayayyyyy
Roberto Cantoral, traduction carolita
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El preso número nueve
El preso numero nueve ya lo van a confesar
Esta encerrado en la celda con el cura del penal
Y antes del amanecer la vida le han de quitar
Porque mató a su mujer y a un amigo desleal
Dice así al confesar
Los maté si señor
Y si vuelvo a nacer
Yo los vuelvo a matar
Padre no me arrepiento
Ni me da miedo la eternidad
Yo se que allá en el cielo
El que juzga nos juzgará
Voy a seguir sus pasos
Voy a buscarla hasta el más alla.
Ay. yayayayayyyyy
El preso numero nueve era un hombre muy cabal
Iba en la noche del pueble muy contento en su jacal
Pero al mirar a su amor en brazos de su rival
Ardió en el pecho el rencor y no se pudo aguantar
Al sonar el clarín se formo el pelotón
Iban al paredón solo alcanzo a decir:
Padre no me arrepiento ni me da miedo la eternidad
Yo se que allá en el cielo el que juzga nos juzgará
Voy a seguir sus pasos voy a buscarla hasta el más alla.
Ay. yayayayayyyyy yaay
Roberto Cantoral
version boléro