Jean Ferrat : Je ne me résouds pas au rejet, à l'exclusion, je ne me résouds pas à la haine
Publié le 27 Mars 2015
En fouillant un peu la toile pendant mes nuits blanches, je trouve parfois des pépites dont celle-ci qui me semble fort appropriée et qui m'a, à sa lecture apporté un petit réconfort, une petite lueur d'espoir.
Mais en Jean Ferrat se trouve la sagesse, j'en suis convaincue sans peine à le côtoyer ainsi chaque semaine, tout comme je trouve la sagesse et des réponses à mes questions en côtoyant chaque jour mon Pablo.
Cette allocution en lien a été écrite en 1997 pour un banquet républicain à Antraigues.
Comme le dit le site que je reprends, elle a été reproduite et diffusée avec l'accord de Jean, 6 ans après et diffusée dans le journal mensuel Ras l'front.
On comprend bien que les inquiétudes qui se faisaient déjà sentir à l'époque ne font que s'amplifier aujourd'hui et parfois je me dit heureusement que ces camarades, ou que nos proches qui se sont battus pour une vie meilleure ne sont plus là pour assister à cette immonde débâcle.
En un mot nos pères avaient fondé avant tout le monde la plus belle des multinationales, celle qui aide encore aujourd'hui, de la Chine au Mexique les peuples humiliés, la multinationale de l'espérance , la multinationale du bonheur.