Des associations dénoncent le scandale des tests osseux pour les enfants étrangers
Publié le 24 Janvier 2015
Ils s’appellent Narekn, Mohamed, Alkasim, Carine, Chernor, Kelson, Kélétigui ou Mamoudou. Ils viennent de Russie, du Tchad, de Guinée, de Sierra Leone, d’Angola et de République démocratique du Congo. Arrivés seuls en France, ces huit jeunes ont d’abord été pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance en tant que mineurs étrangers isolés. Puis ils ont été traduits en justice devant les tribunaux lyonnais. Accusés d’avoir peut-être menti sur leur âge, ils tous ont été condamnés à des peines de plusieurs mois de prison, parfois ferme, à des années d’interdiction du territoire et à des amendes allant jusqu’à 260 000 euros. Et ce sur la base de tests d’âge osseux à la fiabilité pourtant douteuse.
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Des associations dénoncent le scandale des tests osseux pour les enfants étrangers
Ils s'appellent Narekn, Mohamed, Alkasim, Carine, Chernor, Kelson, Kélétigui ou Mamoudou. Ils viennent de Russie, du Tchad, de Guinée, de Sierra Leone, d'Angola et de République démocratique d...